Le dimanche 5 août 1962, Marilyn Monroe est retrouvée morte. La version officielle : mort par overdose de barbituriques. Par contre, plusieurs doutes persistent sur cette mort et certain se demandent si, en fait, ce « suicide » ne cacherait pas un lourd secret. C’est l’avis du premier policier arrivé sur les lieux. Voici un résumé de l’affaire.
À 4h25 du matin, le 5 août 1965, à Los Angeles, le téléphone sonne au poste de police : Marilyn Monroe est morte. Le sergent Jack Clemmons se dirige alors directement au domicile de l’actrice. Il trouve Marilyn nue, étendue dans son lit, la main fermement agrippée au combiné de téléphone. Des boîtes de somnifères vides jonchent le sol. Tout laisse à penser à un suicide. Le sergent n’y croit pas : « J’ai su dès la première seconde qu’il s’agissait d’un crime ; la position de son corps n’avait pas l’air naturelle. À l’évidence, on l’avait placé ainsi. »
Clemmons n’est pas au bout de ses surprises. Une agitation suspecte règne dans la maison. On est en train de réparer la fenêtre de la chambre de l’actrice, à 5 heures du matin, alors que la plus grande star d’Hollywood vient de mourir ! Est-ce qu’on veut camoufler des traces d’effraction ? En plus, la gouvernante de Marilyn est occupée à charger le coffre d’une voiture de boîtes contenant on ne sait quoi. Disparition de pièces à conviction ? La maison semble avoir été récemment remise en ordre et la machine à laver est en marche. Après un tel nettoyage, comment trouver des empreintes ? En interrogeant les personnes présentent sur les lieux, il ne recueille que des réponses vagues, comme si tout avait été appris par cœur. Pire que ça, en recoupant les emplois du temps de la gouvernante et des deux médecins présents sur les lieux, il s’aperçoit qu’ils ont attendu quatre heures avant de prévenir le commissariat…
Autre élément capital, la dose de barbiturique supposément avalée par l’actrice est colossale. Huit à dix boîtes de barbituriques. D’après des experts en médecine légale, la dose retrouvée dans le sang et le foie aurait suffi à tuer plusieurs personnes. Or, il est impossible de continuer à avaler des barbituriques alors qu’on en a déjà absorbé une quantité mortelle. En outre, les médicaments auraient dû laisser des traces dans l’estomac, mais aucun résidu, ni de capsule, ni de leur contenu ne s’y trouvait. À ce jour on ne sait toujours pas comment une telle quantité de drogue a pu arriver dans le sang de l’actrice, car tous les autres procédés, injections avec seringue, injection rectale, ont été étudiés et rejetés.
La question qu’on doit se poser, qui à tué Marilyn ? Qui pouvait en tirer profit ? Selon plusieurs, les candidats ne manquent pas. Il faut regarder du côté de sa vie privée. Au premier rang, ses liaisons dangereuses avec les frères Kennedy. Elle a connu une aventure avec John F Kennedy, mais au moment de sa fin tragique, c’est avec le frère cadet, Robert, alors ministre de la justice, qu’elle nouait une relation tumultueuse. Quelques jours avant le drame, Marilyn a appris que Robert voulait mettre fin à leur relation. Elle téléphone sans cesse à la Maison Blanche, mais ses appels sont interceptés. Furieuse, elle menace Robert que s’il ne revient pas sur sa décision, elle convoquera une conférence de presse pour le lundi 6 août et elle fera tout pour salir la réputation des Kennedy. Elle révèlera qu’elle avait avorté de Bob Kennedy, qu’elle avait eu une liaison avec John et que la CIA et la mafia préparaient main dans la main l’assassinat de Fidel Castro, le leader cubain et ce, avec la bénédiction du Président.
Ça crée aussitôt une panique à la Maison Blanche. Dans la soirée du samedi, Robert est vu se rendant à la maison de l’actrice pour la calmer…ou pour récupérer le journal écrit par la star où elle consigne les détails sur l’assassinat de Castro. Une querelle s’en suit et Bob ressort les mains vides. Quelques heures plus tard, l’actrice est retrouvée morte.
La mafia entre aussi dans le portrait. Fin 1960, Marilyn entretient une brève liaison avec Frank Sinatra, lui-même bien connu pour ses amitiés avec la mafia. Elle est régulièrement invitée au Cal-Neva Lodge, casino très prisé des gangsters, dont Sinatra est copropriétaire avec Sam Giancana, chef de la mafia de Chicago et ami personnel des Kennedy. En effet, il connaissait bien Joe, le père de John et avait même partagé une maîtresse avec John.
Marilyn est donc piègée au cœur d’une véritable toile d’araignée à cause de ces liaisons. Ceux qui veulent nuire aux Kennedy ( ils sont très nombreux ) savent où frapper. Marilyn devient ainsi leur cible de prédilection. Sa maison est truffée de micros. Jimmy Hoffa, président du puissant syndicat des camionneurs l’espionne dans le but de faire chanter Bob. Le FBI aussi connaît des difficultés avec les Kennedy. En effet, le ministre de la justice avait tenté de faire renvoyer le tout puissant patron Edgard Hoover. La CIA aussi avait des raisons d’en vouloir aux Kennedy après le fiasco du débarquement à Cuba qui coûta la vie à des centaines d’agents secrets. Donc, de nombreuses personnes sont au courant de la relation entre Marilyn et les Kennedy et quand l’actrice menace de tout déballer, nombreux sont ceux qui auraient intérêt à la faire taire.
Le mystère reste entier. De plus, plusieurs pièces à conviction ont mystérieusement disparu. Pourquoi a-t-on jeté les échantillons prélevés sur le corps de la victime ? Que sont devenus le carnet intime de Marilyn et les bandes d’enregistrement de ses conversations téléphoniques avec la Maison Blanche ? Le premier avait été confié à un juge, les secondes furent saisies par le FBI dans les archives de la compagnie de téléphone. Les deux se sont ensuite volatilisés.
Cet article a été élaboré en se basant sur le numéro 27 de la revue Facteur-X aux éditions
C’est un samedi soir de décembre 1979. Michel P. sort avec ses amis. Il doit prendre le volant, car il est un de ceux qui possèdent une voiture. Il fait des allers-retours entre Limoge et Naixon où se situe une petite boîte de nuit. Lors de son second voyage, il aperçoit une forme blanche plantée dans un virage près de la discothèque : c’est une femme toute vêtue de blanc. Il décide de l’embarquer avec lui, car elle lui dit qu’elle va à Limoge rejoindre des amis pour une fête. Durant le trajet, il la détaille du coin de l’œil : 20-25 ans, vêtue d’une robe blanche très années 60, très jolie, mais très peu bavarde. À l’approche du pont de la Révolution, la passagère s’anime soudainement : « Attention, ce tournant est dangereux ! » Michel sourit, car ce virage il le connaît très bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe sa voiture et il en fait le tour ; aucune trace de la jeune femme. Lors de sa déposition à la gendarmerie de Limoge, on lui explique qu’il n’est pas le premier à vivre cela. Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet pour ensuite disparaître au pont, l’endroit où elle trouva la mort vingt ans auparavant.
Ce phénomène n’en est pas un isolé. Près de 300 cas ont été enregistrés sur le territoire français. Des femmes vêtues de blanc font régulièrement des apparitions et de disparitions partout en France. Certains lieux semblent prédestinés à la fréquentation des dames blanches. C’est le cas de la lande située de part et d’autre de la route D.2, entre Lessay et Coutance. Ce tronçon de route rectiligne où pratiquement aucun véhicule ne respecte les limitations de vitesse abrite deux dames blanches. L’une d’elle se manifeste dans les bruyères par les nuits de pleine lune depuis des temps immémoriaux. L’autre a été reconnue comme étant Gabrielle R., une adolescente de Lessay tuée en 1970 dans un accident sur cette route. Lorsqu’elle est prise en charge, elle disparaît toujours à l’entrée de Lessay, à la hauteur du cimetière.
Plusieurs sceptiques pourraient être portée à ne pas y croire, car ça arrive souvent à des personnes seules. Par contre, plusieurs cas ont eu des témoins. Dans la nuit du 20 au 21 mai 1981, ils étaient quatre dans la voiture qui fit monter une auto-stoppeuse de 50 ans, elle aussi vêtue de blanc. La voiture ne comportant que deux portes, il fallut rabattre un siège pour que la femme puisse prendre place à l’arrière. Quelques kilomètres plus loin, à l’approche d’une courbe, elle se mit à hurler par deux fois de faire attention au virage avant de disparaître en une fraction de seconde…sous les yeux stupéfaits des deux passagers à l’arrière.
Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l’imprudence de tenter de les toucher. En 1960, une femme fut prise en stop et disparut lentement dans un léger brouillard. L’homme avoua à la gendarmerie qu’il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant la main sur les jambes et, en l’absence de toute réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que la passagère dégageait un froid semblable à celui d’un marbre. C’est là un cas unique de contact physique avec l’un de ces êtres fantomatiques. Parfois, ces apparitions laissent des objets derrière ou en emportent avec eux. Un soir de 1997, un médecin grenoblois prit une jeune femme en stop. Elle resta silencieuse durant tout le trajet, sauf à l’approche du Pont-du-Furet où elle s’agita un peu. Elle se fit déposer plus loin, devant la maison de ses parents. Comme il pleuvait, le médecin lui prêta son parapluie. Il la vit franchir la porte de devant puis attendit qu’elle revienne lui porter son parapluie. Une bonne dizaine de minutes passèrent, mais elle ne revenait pas. Il décida d’aller frapper à la porte pour réclamer son bien. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit. Le médecin apprit que la jeune fille qu’il avait décrit habitait bel et bien ici, mais qu’elle était enterrée depuis plusieurs années. C’était leur fille unique, morte dans un accident de moto, au Pont-du-Furet.
Les hypothèses sont nombreuses quand vient le temps d’expliquer le phénomène. Les psychologues parlent de visions épileptiques, voire même d’hallucinations collectives si les témoins sont nombreux. Les sociologues parlent de légendes urbaines, véritables substituts à la vielle mythologie européenne des dames blanches qui apparaissaient régulièrement après être mortes de façon inattendue. Cette théorie est peu vraisemblable, car dans la majorité des cas, il y a des témoins, des descriptions concordantes avec de réelles femmes, une victime et souvent des dépositions à la gendarmerie.
Le fait troublant dans toute cette affaire, c’est que les jeunes femmes ne se contentent pas d’une seule apparition, mais bien d’apparitions régulières, comme si elles cherchaient quelque chose ou qu’elle voulait prévenir quelque chose. Peut-être cela vient-il du fait que leur mort violente et soudaine n’avait pas déclenché le processus de « départ » vers l’au-delà.
Août, 1992. Dans le pavillon préfabriqué où vivent les Griggs, à Portsmouth(Angleterre), les meubles commencent à changer de place tout seuls. Des odeurs nauséabondes et des bruits venus de nulle part, s’installent dans la maison. Une pièce du rez-de-chaussée semble être le centre des manifestations. Mme Griggs fait alors appel à un prêtre et un médium qui concluent que la petite Jasmin Griggs, 18 mois, est apparemment possédée par l’esprit d’un précédent locataire.
Les poltergeists, ou esprits frappeurs, ne sont pas un phénomène nouveau. Un cas fut signalé en Chine aux alentours de l’an 900 et un autre eut pour cadre l’ex-empire romain, en 530 après J.-C. Le terme poltergeists est un mot d’origine allemande signifiant esprit bruyant, ce qui désigne bien un phénomène s’accompagnant fréquemment de bruits aussi forts qu’étranges. La principale différence entre les poltergeists et les fantômes est que les premiers semblent attachés à une personne et non un lieu ou une maison. Là où se déplace la personne, « épicentre », le phénomène suit. Peu de ces victimes sont conscientes que ces phénomènes leur sont liés.
Deux cas illustrent ces faits. L’affaire Rosenheim se déroula en Bavière, de 1967 à 1968. L’épicentre était la jeune Annemarie Schaberl, âgée de 18 ans. Peu de temps après son entrée comme secrétaire dans le cabinet d’avocats Sigmund Adam, les premiers phénomènes apparurent. Sur son passage, les fils électriques des plafonniers se balançaient, les ampoules avaient tendances à exploser et les débris de verre se dirigeaient toujours vers elle. Le téléphone enregistrait un nombre incroyable d’appel alors que personne ne l’utilisait, un tableau se déplaçait tout seul et une armoire de 175 kg, situé près d’Annemarie, s’écarta spontanément du mur à deux reprises. Quand la jeune fille quitta le cabinet, tout redevint normal.
L’autre cas s’est déroulé en Belgique. Le 5 janvier 1993, vers 20h, des phénomènes bizarres se déclenchèrent à l’arrivé d’Éric Barbe, le petit ami de la fille des époux Dubart, dans la maison de ses beaux parents. Le lourd buffet se déplaça, une desserte s’agita, des objets s’envolèrent et semblèrent se diriger vers Éric. La famille fit venir un exorciste et les phénomènes cessèrent après cet exorcisme…et après l’éloignement du galant jeune homme.
Pour Andrew Green, célèbre enquêteur dans le domaine du paranormal, l’activité de ces esprits frappeurs relève de la psychokinésie, i.e. la capacité de déplacer des objets et de produire des bruits par sa seule pensée. Il soutient aussi que ces phénomènes peuvent être produits par des gens des deux sexes, dès l’âge de 3 ans jusqu’à la fin de la quarantaine. Le plus souvent, on note un traumatisme psychique chez le sujet. En effet, William Roll, un parapsychologue américain, a constaté que sur 92 affaires d’activité poltergeist, quatre des épicentres supposés étaient épileptiques. Le sujet atteint de cette maladie siégeant dans le lobe temporal perd conscience pour une période de temps variable et certains pouvoirs de son esprit pourraient être libérés et produire des phénomènes psychokinétiques. Par contre, il faut mentionner que l’épilepsie n’intervient que dans un faible pourcentage des cas.
Guy Playfair échafauda une autre théorie après avoir été témoin d’un cas surprenant. Pendant 14 mois, à partir de la fin août 1977, le domicile de Mme Peggy Hodgeson est la proie d’une activité poltergeist centré autour de sa fille de 11 ans, Janet. Le mobilier familial subit d’importants dégâts : plusieurs meubles sont déplacés violemment dans différentes parties de la maison. Des graffitis apparaissent spontanément sur les murs et on voit l’eau sortir du plancher et des murs un peu partout. Ces phénomènes font la une des journaux du monde entier et ils ont été observés par de nombreux témoins, y compris par la police, par des scientifiques et des enquêteurs spécialisés dont Playfair. La théorie de ce dernier situe l’origine des phénomènes dans la glande pinéale, glande contrôlant l’émission des hormones sexuelles. Pendant la puberté, la glande pourrait sécréter des hormones générant une énergie créatrice. Lorsque l’enfant se sent doté de cette nouvelle force, il lui faut un exutoire. À défaut, cette énergie pourrait être captée par des « entités maraudeuses » qui se l’approprient à leurs propres fins. Les gens seraient comme une source d’énergie utilisable par des esprits.
Malgré plusieurs essais pour faire valider sa théorie, la communauté scientifique penche plutôt sur la théorie de la psychokinétique récurrente spontanée. Andrew Green persiste à croire que les incidents poltergeist procèdent uniquement de l’inconscient : ils refléteraient les pouvoirs créateurs et de mise en scène auxquels le sujet fait appel pour gérer des émotions réprimées et des conflits émotionnels. Essayant de prouver la thèse de la psychokinésie, la Société Canadienne pour la Recherche Psychique procède à une série d’expériences à Toronto. Huit membres de la société créent avec leur énergie mentale, un personnage totalement imaginaire du XVIIè siècle qu’ils nomment Philip. Après plusieurs mois de séances hebdomadaire, Philip commença à communiquer en frappant sur une table et en la faisant bouger. Il est même capable d’en provoquer la lévitation devant les caméras de télévision. Malgré cela, l’expérience n’a jamais été validée. En effet, comment prouver que les chercheurs ont réellement provoquer la psychokinésie sans être à leur insu les jouets d’un poltergeist ?
Quoiqu’il en soit, l’origine du phénomène n’a jamais été trouvée. Le mystère reste entier…
Vendredi 13 février 2004,
Carlotta se brossait les cheveux. À peine fut-elle allongée dans son lit que… la chose, impressionnante, énorme, se fraya un chemin jusqu’à elle. Carlotta souffrait ; la chose qui l’avait pénétrée si vite, l’éperonnait maintenant avec violence. Elle n’avait plus l’impression d’être un être humain…encore moins d’avoir affaire à un être humain.Un “OVNI” a été observé par des centaines de gens au Costa Rica
Lundi 16 janvier 2006, des centaines de personnes ont observé longuement, à San José, un objet brillant dans les nuages.
Pendant presque une heure, vers midi, l’objet a stagné dans le ciel
tandis qu’une foule s’amassait pour contempler le spectacle.
Les gens criaient : "c’est un OVNI ! ", Tandis que la police tentait de tranquilliser la population.
L'Institut Météorologique a affirmé que des ballons avaient été envoyés dans l’atmosphère pour une série de mesures et d’expériences. Cependant, selon Alexánder Cordoue, chargé de lancer ces appareils depuis l'aéroport Juan Santamaría, le vent les a poussé vers l'ouest, c’est pourquoi il est très surprenant que ces ballons aient pu apparaître à San José.
Photo d’un OVNI prise par l'Institut Géographique du Costa Rica dans les années 70. Cette photo a été authentifiée et reste l’une des plus problématiques pour les scientifiques, sceptiques quant à l’existence des OVNIS
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