Les grands prêtres des Dogons, une tribu africaine du Mali, connaissaient l’existence de certaines étoiles, notamment SIRIUS.. bien avant qu’elles ne soient détectées par nos télescopes modernes.
En 1950, deux anthropologues français, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen, déclarèrent que Sirius B, bien qu’absolument invisible à l’œil nu, était depuis des siècles la clé de voûte céleste de la cosmologie des Dogons.
La mythologie des Dogons
Il y a environ 300 000 Dogons qui vivent sur un plateau rocailleux du Mali. On ne sait pas grand-chose de leur passé à part qu’ils sont arrivés sur le plateau de Bandiagara entre le XIIIe et XVIe siècle de notre ère.
Encore aujourd’hui, les
Dogons vivent paisiblement dans leurs villages
de pisés dressés face à la
plaine du Niger.
Au pied de ces falaises escarpées, ce peuple
vit au rythme des saisons, chacune étant
honorée de danses rituelles.
Village Dogon.
Les Dogons pourraient être un peuple bien ordinaire si leur cosmogonie n’était pas si surprenante.
La vie des Dogons est imprégnée
des mythes venus du fond des âges. Leur
dieu créateur, Amma, a lancé des
boulettes de terre dans l’espace, où
elles se sont transformées en étoiles.
Amma a ensuite modelé deux poteries blanches
symbolisant le Soleil et la Lune.
Masque de cérémonie.
Selon leur mythologie, Amma
a tiré la Terre d’un boudin d’argile.
Huit nommo, des petits génies aux yeux
rouges et au corps vert sont nés de cette
argile.
Ils ont donné naissance à huit familles
qui sont devenues les huit tribus du peuple Dogon.
Ces mythes deviennent intéressants
quand les Dogons affirment que les huit nommo
viennent de Sirius.
De plus, les Grands prêtres savent depuis
fort longtemps que Sirius est accompagnée
d’une autre étoile, baptisée
par les astronomes Sirius B.
Sirius. © Nasa
Ce qui est extraordinaire c’est
que depuis plusieurs siècles, toute la
cosmogonie des Dogons est commandée par
Sirius B.
Or, cette étoile n’a été
découverte qu’en 1836 et identifiée
comme une naine blanche qu’en 1915.
Le savoir des Dogons
En 1931, deux ethno-anthropologues
français partent s’installer dans
ce qui était alors le Soudan français
pour y étudier les Dogons.
Pendant 20 ans, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen
vont partager la vie des Dogons.
Après plusieurs années, les Dogons ont parfaitement accepté les deux français. En 1946, ils acceptent de leur expliquer leur cosmogonie.
Village Dogon.
Les sages de la tribu tracent
alors sur le sol à l’aide de bâtons
la voûte céleste telle qu’ils
se la représentent.
Médusé, Griaule voit apparaître
la constellation du Grand Chien et, gravitant
autour, une étoile plus petite ainsi qu’un
autre corps.
Cette étoile, confièrent-il au scientifique,
met 50 ans pour faire le tour de Sirius. Pour
fêter cet évènement, tous
les 50 ans, ils célèbrent la fête
de "Sigui", afin de régénérer
le monde.
Pour figurer cette petite étoile,
les Dogons ont choisi l’objet le plus petit
dont ils disposent : la graine de la variété
fonio du millet, céréale qui constitue
leur principale nourriture.
Dans leur langue, « Po Tolo (Sirius B) est
de taille minuscule mais très lourde.
Jour de Marché
On sait depuis 1920 que les naines blanches, des étoiles en train de mourir, bien que petites, ont une incroyable densité.
Quand les deux scientifiques ont demandé aux prêtres d’où ils tenaient ces connaissances, ils ont été formels :
« Des
créatures amphibies ont atterri sur la
Terre il y a fort longtemps. Elles ont transmis
ce savoir à quelques initiés.
Ces créatures, les nommo, sont les Guides
de l’Univers, les pères du genre
humain. »
Art Dogon.
Les Dogons dessinent un peu partout des figures qui évoquent l’arrivée des nommo sur Terre. Ils sont d’ailleurs très précis quant à l’atterrissage de l’arche. Cette dernière s’est posée au nord-est du pays dogon, près de l’endroit d’où les Dogons sont partis pour venir s’installer sur les plateaux.
Il est évident que, comme dans tous les mythes, les symboles sont omniprésents, ce qui ne rend pas facile l’interprétation de chaque élément.
Ce qui est certain, c’est que les connaissances des Dogons en astronomie dépassent largement leurs capacités d’observation ou de calcul.
Les Dogons et l’astronomie
Peu après, Griaule découvrit
que les Dogons avaient bien d’autres connaissances
en astronomie.
Ils savaient, par exemple, que JUPITER..
a quatre satellites principaux. Ils savaient que
a SATURNE ..des anneaux, quela TERRE..
tourne autour du SOLEIL..et que les étoiles sont des corps en
mouvement perpétuel.
Masque de danse
Ils savaient également que la Lune est une planète morte. Depuis des générations, les prêtres enseignent que la Voie Lactée est animée d’un mouvement en spirale, auquel participe notre système solaire.
Un autre fait étrange,
ils affirment que Sirius serait accompagnée,
non pas d’une étoile mais de deux
étoiles.
Nous savons que Sirius B existe mais, à
ce jour, aucune Sirius C n’a été
détectée.
Si un jour, on découvre cette deuxième étoile, invisible à l’œil nu, le savoir des Dogons serait spectaculairement confirmé.
Danse rituelle.
La grande question qui se pose depuis maintenant 1976, année de la parution de l’ouvrage de Robert Temple « Le Mystère de Sirius », est :
De qui les Dogons tiennent-ils leur savoir ?
Les hypothèses sur le mystère des Dogons
L’hypothèse d’extraterrestres souhaitant partager leur savoir avec les Dogons ne semble pas très sérieuse.
Bien sur, la description que
font les prêtres depuis plusieurs centaines
d’années de l’arrivée
de cette « arche » est assez troublante.
« En descendant,
l’arche a fait retentir un bruit terrible,
qui a fait trembler les pierres »
Robert Temple ajoute qu’ils font également
allusion aux immenses colonnes de poussière
qui s’élevaient dans le ciel.
Les Dogons se sont transmis
cette légende oralement de génération
en génération et ils s’expriment
sous une forme mythique et symbolique.
Il est donc difficile d’en faire une interprétation
rationnelle.
Suite à la parution du
livre de Robert Temple qui montre beaucoup d’audace
dans ses conclusions, les prises de position se
sont succédées.
Si ce scientifique croit à l’hypothèse
extraterrestre, ce n’est bien sûr
pas le cas de tous ses confrères.
Pour certains, ce savoir s’expliquerait
d’une manière très simple.
Les Dogons ont été soumis à
l’école laïque dès 1907
par les Français.
Leurs connaissances proviendraient donc tout simplement
de notre propre civilisation.
Cet argument, très rationnel,
ne tient malheureusement pas l’analyse.
En effet, le savoir des Dogons est très
ancien et se transmettait bien avant le début
de la colonisation.
De plus, il est très peu probable que les
instituteurs enseignaient l’astronomie et
encore moins les raisons anormales du pouvoir
d’attraction de Sirius B.
Maisons à flancs des rochers.
L’autre hypothèse est déjà beaucoup plus plausible. On sait que dès la plus haute Antiquité, les peuples proches-orientaux se passionnaient pour l’astronomie.
Les Dogons n’étaient
pas une tribu isolée. Leurs villages bordent
les grandes routes commerciales qui reliaient
autrefois l’Afrique occidentale à
l’ancienne Egypte.
Ils sont établis au sud de Tombouctou,
siège d’une université qui,
il y a 400 ans, était l’un des grands
centres intellectuels de l’Islam.
Maison familiale
Des échanges culturels ont donc forcément eu lieu. Il est donc possible que par l’intermédiaire des Egyptiens, une partie des connaissances des peuples de la Mésopotamie et même de Grèce soit parvenue jusqu’aux Dogons.
On constate d’ailleurs que Sirius apparaît souvent dans les mythologies antiques. Cela n’a rien d’étonnant car après tout, c’est l’étoile la plus brillante de notre ciel. Les Egyptiens connaissaient bien cette étoile car elle était liée aux premières inondations du Nil.
Dans la mythologie grecque,
plusieurs légendes font référence
à des créatures amphibies, mi-poissons,
mi-hommes.
Les Babyloniens y font également référence.
D'ailleurs, la plupart des mythologies et notamment
grecque mettent en scène de nombreux MONSTRES..
Il y a-t-il eu mélange des différents mythes ?
Et qu’en est-il de Sirius B, qui elle est invisible à l’œil nu ? Certains avancent l’hypothèse que dans des temps plus reculés, cette naine blanche brillait suffisamment pour être vue et étudiée avec des instruments rudimentaires.
Effectivement, de nombreuses civilisations aujourd’hui disparues, avaient de bonnes connaissances en astronomie.
Cette dernière hypothèse n’explique pas tout mais apporte des éléments sérieux à ce dossier. Si un jour, il s’avérait que Sirius C existe bien alors il nous faudrait envisager d’autres hypothèses.
Références bibliographiques
The Sirius Mystery (Le
Mystère de Sirius), Robert K.G. Temple,
Royal Astronomical Society of Great Britain, 1976.
La cosmogonie des Dogon: L'Arche du Nommo,
E.Guerrier, Robert Laffont, 1975
Au cœur des étoiles
et galaxies, éditions Hachette 2004
«
Cruels, inutiles et malveillants », tels
sont les adjectifs utilisés par le chasseur
de fantômes Harry Price pour décrire
le phénomène paranormal le plus
terrifiant, celui des esprits frappeurs.
Le mot poltergeist « esprit frappeur »
vient de l’allemand et signifie littéralement
« esprit bruyant ». Mais, le poltergeist
n’est pas seulement bruyant, il est également
destructeur et la force qu’il déploie
est souvent d’une rare violence.
L’activité des poltergeists est attestée
depuis les temps les plus reculés. Autrefois,
on pensait que Satan se manifestait à travers
ces phénomènes.
Aujourd’hui, on classe ces phénomènes
« paranormaux » dans la catégorie
des phénomènes psychiques.
Il ne s’agit donc plus d’une intervention
de l’au-delà ou d’un esprit
satanique mais bel et bien d’une manifestation
psychique humaine non contrôlée.
La clinique d’Arcachon
De
mystérieux jets de pierre se produisirent
pendant l’été de 1963 dans
la clinique orthopédique d’Arcachon
(France).
Pendant cette période, les patients immobilisés
reçurent environ 200 à 300 cailloux
de tout calibre à toute heure du jour ou
de la nuit.
Curieusement, aucun malade ne fut jamais touché.
Les phénomènes commencèrent quand le bruit courut de la mise en vente de la clinique.
Un soir d’août, un agent de police, vit une pierre sortir d’une pièce désaffectée du deuxième étage. Quand on fouilla l’étage, on trouva les portes fermées à clé.
Ces manifestations cessèrent brusquement sans qu’aucun coupable ne fut trouvé.
Chute de pierres brûlantes
Les jets de pierres sont très fréquents dans les cas d’esprits frappeurs. Ces pierres sont souvent brûlantes ou au moins tièdes.
Une
rue de Birmingham, en Angleterre, fut soumise
à des chutes de pierres continues pendant
plusieurs années.
Les maisons des environs subissaient de tels dégâts
que la police dut intervenir. Elle monta une opération
pour tenter de découvrir la clef du mystère.
Mais, malgré tout le matériel sophistiqué,
une équipe d’officiers expérimentés
et des milliers d’heures de travail, les
chutes de pierres continuaient toujours.
On ne trouva aucune empreinte sur les pierres,
ni aucune trace de terre ou de fibre. On aurait
pu penser que les pierres avaient été
lavées.
Une petite fille photographiée alors qu'elle est lancée à travers une pièce par une force inconnue (Photo © l'Inexpliqué, Ed. Laffont)
En
1960, au Brésil, une pluie de pierres venues
de nulle part s’abattit sur un groupe de
gens qui se tenait sur le bas-côté
d’une route.
Ils allèrent au commissariat et lorsque
le policier arriva sur les lieux, il fut accueillit
par une nouvelle pluie de pierres chaudes.
Désordres électriques et explosions
En
1966, en Allemagne, des policiers furent appelés
dans un cabinet d’avocats à cause
de graves désordres électriques.
Des experts découvrirent que les phénomènes
étaient liés à la présence
d’une jeune fille de 19 ans, Anne-Marie
Schneider.
Ils virent des lampes se balancer sur son passage.
Les problèmes continuèrent avec
des coupures d’électricité,
des ampoules qui éclataient, des tableaux
qui tombaient ou des tiroirs qui s’ouvraient
tout seuls.
Pendant les vacances de Noël, les phénomènes
s’arrêtèrent. Ils reprirent
dès qu’Anne-Marie revint travailler.
Les employés recevaient de fortes décharges
électriques et une lourde commode en chêne
se déplaça toute seule.
Un oreiller filmé alors qu'il se déplace dans une pièce (Photo © l'Inexpliqué, Ed. Laffont)
La jeune fille fut congédiée et tout redevint normal.
Malheureusement pour elle, les phénomènes se reproduisirent chez ses nouveaux employeurs et elle dut quitter tous ses emplois les uns après les autres.
Anne-Marie n’était pas directement responsable de ces phénomènes. Les enquêteurs en conclurent qu’elle faisait de la psychokinèse en réponse à des problèmes émotionnels.
Poltergeist malfaisant
En
1972, une famille brésilienne qui vivait
près de Sao Paulo devint la victime d’un
esprit frappeur.
Outre les bruits étranges et les meubles
qui volaient à travers les pièces,
un réservoir d’eau très lourd
se retrouva dans le jardin.
Puis, l’esprit devint plus agressif. La
mère reçut une brique sur le visage
et une des filles fut ébouillantée
par une bouilloire arrachée de ses mains.
La famille partit vivre chez des parents mais
l’esprit les suivit. En désespoir
de cause, ils finirent par quitter la région.
Un poltergeist humide
En octobre 1963, la famille Martin du Massachusetts, remarqua une tache humide dans le salon. Quelques instants plus tard, il y eut un bruit de bouchon et l’eau se mit à couler du mur.
Après
quelques jours, la maison était si humide
que les Martin déménagèrent
chez une parente.
Mais, le poltergeist qui aimait tant l’eau
les suivit. Peu de temps après, les cinq
pièces se trouvèrent détrempées.
Les pompiers ne trouvèrent aucune fuite.
En 1985, un esprit frappeur s'amuse avec des tasses dans une maison anglaise (Photo © l'Inexpliqué, Ed. Laffont)
Alors que le shérif Mains se trouvait sur les lieux, un jet d’eau jaillit d’une cloison.
Francis Martin décida de retourner chez lui avec sa femme et sa fille et coupa l’arrivée d’eau. Cette mesure ne dérangea nullement le lutin aquatique et la maison fut de nouveau invivable car complètement inondée.
Sans raison, les phénomènes diminuèrent puis s’arrêtèrent complètement.
Les poltergeists et la psychokinèse
Les
phénomènes liés aux esprits
frappeurs sont presque toujours en relation avec
la présence d’un enfant ou d’un
adolescent dans la maison. Dans les autres cas
qui s’avèrent ne pas être des
plaisanteries, on ne connaît pas la source
du phénomène.
En général, ces phénomènes
ne durent pas plus de deux mois mais il y a de
nombreuses exceptions à cette règle.
Les chercheurs en parapsychologie ont émis l’hypothèse que la psychokinèse, l’aptitude à agir sur les objets par la seule force de l’esprit, pouvait expliquer les manifestations.
Une cuisine ravagée par un poltergeist (Photo © l'Inexpliqué, Ed. Laffont)
Jusqu’à
présent, les cas plus ou moins étudiés
de psychokinèse sont beaucoup moins spectaculaires.
Certaines personnes, comme la Russe Nina Kulagina,
pouvaient déplacer de petits objets sur
de très courtes distances (cas non étudiée
de manière vraiment scientifique dans les
années 1960).
Ces démonstrations restent à vérifier
sous contrôle scientifique car Uri Geller,
célèbre dans les années 1970,
s’est avéré n’être
qu’un habile prestidigitateur, pris en flagrant
délit de tricherie.
Certains chercheurs ont imaginé que les poltergeists utilisaient une source d’énergie mais on ne sait pas laquelle.
Si
ces phénomènes n’ont rien
de paranormaux, ils conservent cependant pour
l’instant tout leur mystère. Ce mystère
est, de mon point de vue, certainement lié
aux capacités inconnues de notre cerveau.
Le jour où les scientifiques perceront
tous les mystères du cerveau humain, nous
saurons comment faire bouger des objets à
distance.
Ces facultés ne semblent pas conscientes
dans les cas étudiés et se manifestent
principalement sous une forte émotion ou
perturbation émotionnelle.
Il nous reste à savoir ce qui régit,
dans notre cerveau, cette faculté, afin
de pouvoir la maîtriser.
V.B (28.06.2006)
Sources bibliographiques
S.Rogo, The Poltergeist Experience. R. Tocquet, Les Mystères du Paranormal. L’Inexpliqué, éditions Robert Laffont.
1. pouty88 le 19-10-2010 à 04:07:56 (site)
bonjour
oui j'ai vu beaucoup de reportage a la TV sur ces phénomènes in expliquer,il est intéressant votre blog. j'aime bien !.
bonne journée
pouty88
Amateurs ou professionnels, des photographes
ont parfois fixé sur leur pellicule d’étranges
fantômes de chiens, de chats ou d’autres
animaux.
Les animaux ne sont pas censés avoir une
âme. Nos religions ne prévoient pas
de paradis ou d’enfer pour nos compagnons
à quatre pattes.
Pourtant, devant ces étranges apparitions,
on peut se demander si les animaux n’auraient
pas une « autre vie » dans un au-delà
qui leur serait propre.
A moins que ces photographies fantômes ne
révèlent certains pouvoirs de notre
cerveau.
L'autre hypothèse, plus rationnelle, serait d'envisager des canulars ou tout simplement de mauvaises manipulations lors du développement des pellicules.
D’étranges apparitions sur la pellicule
On a souvent cherché à photographier
les fantômes pour prouver leur existence.
Mais, c’est quand on s’y attend le
moins, que ces derniers font leur apparition.
Des animaux de compagnie sont ainsi apparus sur
de simples photos de famille alors qu’ils
avaient récemment disparu.
Chiens et chats, la plupart du temps, mais aussi
des oiseaux. La plupart de ces photos ont été
prises par des amateurs songeant simplement à
garder un souvenir d’un bon moment en famille.
Un cochon d'Inde fantôme
Par un beau jour d’août 1925, le major Wilmot Allistone, de Clarens, en Suisse, décide de prendre un cliché des siens.
Au développement, c’est la surprise : Initialement, son fils tient à la main un ours en peluche. Or, sur la photo on voit le « fantôme » d’un cochon d’Inde apparaître dans les mains de l’enfant.
L’image, semi-transparente, est cependant assez nette. Tout le monde est d’accord pour reconnaître le petit animal dévoré quelques jours plus tôt par un gros chien.
Apparition d’un chien
Le négatif d’une photo est soumis
en 1927 au British College of Psychic Science.
Il s’agit d’une photo tout à
fait ordinaire.
On peut y voir Lady Hehir et sa chienne Tara.
Elle a été prise par une certaine
Madame Filson.
Or, sur l’image se distingue très
nettement la tête d’un jeune chiot
derrière Tara. Madame Filson aussi bien
que Lady Hehir ont immédiatement reconnu
la petite chienne terrier Kathal, qui était
la compagne de jeux favorite de Tara.
La petite chienne est morte six semaines avant
la prise de cette photo.
Le petit terrier apparaît sur la croupe du chien.
Contrairement au chat des Allistone, Kathal est
apparue sur le cliché comme si elle s’était
trouvée, en chair et en os, devant l’objectif.
Ce n’est pas un ectoplasme mais un chien
qui a l’air bien vivant.
Une étrange créature
Alfred Hollidge décida en 1974 de prendre une photo de Monet, son chat. Quand on développa la photo, on remarqua un animal difficilement identifiable en face de Monet. C’était une forme noire avec une très longue queue. Une sorte de gros rat.
D’après les spécialistes qui ont étudié le cliché, il ne s’agirait pas d’une réaction chimique due au délai assez long entre la prise de la photo et son développement.
Curieusement, Monet, ne regarde pas l’objectif mais bien cet étrange animal.
Retour de l’au-delà ou pouvoir psychique
Le photographe spirite Edward Wyllie prit également à la fin du 19e siècle une photo sur laquelle apparaissent une femme, qu’il ne connaît pas, et un chien auquel il tenait beaucoup, mort quelques temps auparavant.
Les photos, malheureusement, subissent les ravages du temps. Beaucoup d’entre-elles sont irrémédiablement perdues.
Ce ne sont pas toujours des animaux familiers et très regrettés qui apparaissent. On a le cas d’apparition d’une sorte de singe gigantesque et menaçant, un oiseau ressemblant vaguement à un aigle, une énorme chauve-souris.
Un étrange animal qui apparaît sur une pellicule suite à des expériences dans un laboratoire.
En 1921, on a même photographié le « fantôme » d’une plante. Sur le cliché, on pouvait voir en détail la tige et les feuilles et ce que l’on pensa être des fleurs.
Tous ces phénomènes peuvent-ils s’expliquer par la fraude ou des réactions chimiques incontrôlées de la pellicule ?
La fraude est toujours possible dans certains
cas ainsi que des réactions chimiques.
Cependant, il est difficile d’appliquer
ces hypothèses à tous les cas.
De nombreuses photos sont prises par des amateurs
dont la sincérité est difficile
à remettre en cause.
Aujourd’hui, la technique de la photographie est parfaitement au point. Il est très facile de dénoncer les montages comme on a pu le constater dans certains cas d’observation d’ovnis.
Pourtant, on rencontre toujours des fantômes sur certains clichés.
Edward Willie capta sur une plaque sensible les reflets d'une femme inconnue et de son chien mort
Théories sur ces apparitions
S’agit-il vraiment de phénomènes
paranormaux ? Doit-on relier ces photographies
fantômes aux pouvoirs de psychokinésie
?
Un homme peut-il impressionner une pellicule photographique
par la seule force de sa pensée ?
Il est en effet intéressant de constater
que dans la plupart des cas d’apparition
d’animaux, il s’agit de compagnons
particulièrement « chéris
». On sait très bien que la mort
d’un animal peut occasionner une grande
souffrance.
Inconsciemment, certaines personnes seraient-elles
susceptibles grâce à des facultés
psychokinésiques de faire apparaître
l’animal tant regretté ?
C’est l’une des hypothèses qui peut être avancée.
Une autre hypothèse, beaucoup plus technique, mais qui pourrait bien être la solution nous est proposée par JB Loussert:
Je viens de parcourir le chapitre « Photographies d’animaux fantômes » et ayant fait une école de photographie dans ma folle jeunesse, je connais bien le sujet, surtout avec les anciens appareils. Il m’est déjà arrivé d’avoir des superpositions d’image ou d’avoir des images fantômes sur des pellicules et notamment de proche, ce qui n’a rien de surprenant.
Le procédé est bien connu et facilement réalisable avec les anciens appareils. Il s’appelle l’open flash et il est plus difficile à réaliser avec les appareils contemporains : Ils ont soit une forte sensibilité à la lumière dans la pénombre, soit ils n’ont pas de mode débrayable (manuel : Mode souvent en standard dans les années 80 et avant) ou encore leurs capacités d’alimentation sont trop faibles pour tenir le temps de pose suffisant.
Le principe est simple : La réciprocité entre la vitesse et l’ouverture n’est plus valable en dessous d’une seconde. Pour connaître le temps d’exposition, il faut ce munir d’un abaque (Graphique donnant le temps de pose en fonction du temps, de l’ouverture et de la luminosité) et d’une cellule portative. A savoir qu’en faible luminosité et à des ouvertures élevées (Petit trou du diaphragme) le temps d’exposition peut être de plusieurs dizaines de minutes à plusieurs heures de pose sur pied évidement. Très souvent pour faciliter les impressions, on utilise un flash manuel que l’on déclenche manuellement plus ou moins loin, plus ou moins souvent en fonction de l’effet escompté.
C’est comme cela que l’on pouvait très facilement faire apparaître sur le même cliché la même personne à différents endroits avec différents costumes ou encore faire planer des fantômes dans un cimetière.
Sur les appareils plus anciens, le phénomène était encore plus fréquent, car pour des prises de vues classiques en plein jour, non seulement le temps de pose était long mais en plus le flash qui n’était pas très fiable, ne se déclenchait pas toujours et était indispensable pour imprégner la pellicule, voire la plaque. Les plaques qui pouvaient être mélangées ou utilisées plusieurs fois sans forcement s’en souvenir, ce qui pouvait porter à confusion.
OBJETS FABRIQUÉS TOMBÉS DU CIEL
Il y a de nombreux objets qui tombent du ciel un peu partout dans le monde. En principe, il
s’agit surtout de pluies d’animaux.
Mais, à intervalle régulier, on a observé des chutes d’objets
manufacturés. Aucune explication n’a été fournie, à ce jour, pour
expliquer ces étranges « pluies ».
Le 28 août 1962, Grady Honeycutt était en train de pêcher dans un lac près de Concord en Caroline du Nord quand il vit un globe scintillant tomber dans l’eau.
Il s’approcha de l’endroit de la chute et vit l’objet posé au fond du lac. Les eaux étant très claires, il pouvait
l’observer avec précision.
L’objet brillait et était couvert de courts piquants. Il était aussi gros qu’une boule de bowling.
Honeycutt repartit pour appeler le bureau du shérif. Le temps que ce dernier arrive, l’objet s’était désintégré et ressemblait à un enchevêtrement de fils.
Le lendemain, trois plongeurs de l’armée fouillèrent cette partie du lac. Ils ne retrouvèrent que des morceaux
d’aluminium.
S’agissait-il d’un engin militaire utiliser pour repérer ou tromper les radars ?
En septembre 1962, un objet en acier de 10 kg tomba dans une rue à Manitowock dans le Wisconsin.
Cela ressemblait à un fragment de machine. En plusieurs points de la surface, l’acier avait fondu.
L’objet fut transporté au Smithsonian Museum pour analyses. Les experts
confirmèrent qu’il s’agissait bien d’un objet fabriqué mais sans autre
commentaire.
En 1963, un objet semblable à celui du lac près de Concord tomba dans un autre lac, mais cette fois en Irlande.
D’après les témoins, il était sphérique et portait quatre tiges de métal. Il était, lui aussi, incandescent.
L’armée irlandaise récupéra l’objet puis ce fut le silence. Aucun rapport ne fut jamais communiqué au public.
Sources : Le Grand Livre du Mystérieux. The Concord Tribune, 29 août 1962
LA VOITURE MAUDITE DE JAMES DEAN
Le
matin du 30 septembre 1955, James Dean se tuait au volant de sa Porshe
à un carrefour à côté de San Francisco. Il se rendait à une course
automobile, sport qui était sa grande passion. Peu avant, son ami et
acteur Alec Guiness l’avait supplié de ne pas prendre le volant en
voyant le nouveau bolide.
Cette voiture allait provoquer bien d’autres drames.
Georges Barris la racheta mais elle se détacha du camion qui la transportait et brisa la jambe du mécanicien.
Peu après, elle fut revendue à un amateur de courses automobiles qui trouva presque aussitôt la mort lors d’une compétition.
Un autre pilote fut tué pendant une course suite à une crevaison simultanée de deux pneus neufs.
La carcasse de la voiture fut ensuite exposée sur un circuit en
Californie à l’occasion d’une campagne pour la sécurité routière. Elle
glissa de son estrade et blessa un adolescent. Puis, un homme fut tué
alors que la voiture était chargée sur un camion.
Lors du transport, les freins du camion lâchèrent et il entra dans la devanture d’un magasin.
La Porshe fut finalement brisée en 11 morceaux lors d’une exposition avant de disparaître mystérieusement pendant un voyage en train vers Los Angeles.
Source : L’Inexpliqué, p.148
Commentaires
1. Karah le 23-10-2010 à 05:54:18 (site)
J'avais entendu parler de cette tribu et de son lien avec Sirius.
Merci pour ces infos très intéressantes ainsi que les photos très jolies.
bonne journée